Je n'y ai vu qu'une grande tristesse
c'était un peu comme de la tendresse
qu'elle voulait offrir entre deux maux
d'une existence qui s'éteint sans mot.

Elle était donc là cette vieille dame
déjà fantôme de ce mélodrame,
elle est partie sans un cri, doucement
et elle me manque déjà, maman.


Oui. Deux strophes magistrales, Marco a raison. Et j'avais raison à ton sujet. Tu es une âme élevée! Tu as eu le courage de crier et d'avouer :

"elle me manque déjà, maman."

Allez! Moi aussi, elle me manque ma Mère.
Bizatoi.

merci amis de plume... je ne sais toujours pas répondre aux compliments... sans doute parce que je ne les trouve pas toujours mérités ou parce que j'a appris trop tard à m'estimer ou tout simplement parce que je suis timide? en tout cas je vous remercie pour vos encouragements... bonne journée

"Je n'y ai vu qu'une grande tristesse
c'était un peu comme de la tendresse"

très beau passage qui éclaire bien des choses et qui permettra à terme le pardon...

Amitié,

Je suis entrain de lire tes textes,un à un,et tes mots me touchent beaucoup...Que le chemin qu'il te reste à parcourir soit le plus ensoleillé possible....