Ô, mon cher cœur, que tu es cruel ! Encore une fois je vais te blâmer, Car à cause de toi, mes larmes sont tombées, Je t'ai répété maintes fois de ne jamais l'aimer, Tes battements résonnent du fond de mes prunelles
Dès que je le vois, je suis envahie de mille frissons Je ne suis plus la même, je me sens tellement différente Je ne rêve que de notre idylle, pourtant, inexistante Mon âme fendue me rappelle, comme la lame de la vie est tranchante Mes pensées se mitigent, et ne sont plus que dérision
Ce sentiment, s'étant en moi installé Qui me fait à la fois tant de mal et de bien Qui me panique complètement pour un rien Dont je souffre également, c'est certain Cette flamme au fond de mon être, doit rester allumée
Est-ce ne se résoudre qu'à cela que d'aimer? Aussi dur que d'aimer un cœur, qui lui aime ailleurs? A, pendant des heures mêler tous mes pleurs, De joies, de peines, de déceptions et d'erreurs? Pourquoi donc garde je mes sentiments dissimulés?
Je me sens hélas, terriblement impuissante, Mais il m'apprécie déjà pour qui je suis Je sais bien que c'est une chance inouïe Nous sommes à la fois rivaux et amis J'oublie tous ces soucis sous la pluie déferlante
--- Je ne sais pas ...mais ce poème là ne me plait pas vraiment il change de mon style habituel non? J'espère que vous aimerez...et que vous ne serez pas trop déçus...
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