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Accueil >> xnews >> La Nuit (chanson) - Poèmes - Textes
Poèmes : La Nuit (chanson)
Publié par plouf-17 le 09-03-2015 00:10:00 ( 801 lectures ) Articles du même auteur



Toutes la nuit j'ai alors repensé
Mon âme brisée regardant les étoiles
Je le pensais tellement admirable
Mais il n'est rien de plus qu'un misérable
Je verse mes larmes sous le ciel constellé

Tout ce qu'il a su faire c'est nous trahir
Ton secret dévoilé et raconté
Nos étoiles trompées presque tombées
La nuit cache tellement de mots chuchotés
Ton égoïsme m'empêche de dormir

Et quand je lève les yeux vers le ciel
Je t'imagine sur une étoile filante
En direction de la lune éternelle
Et de toutes ces planètes tourbillonnantes

La nuit est sensée nous porter conseil
Et nous faire rêver de ce monde meilleur
Mais toujours ce même cauchemard qui m'apeure
Dans ce monde étrange ou il y'a pas d'heure
Maudite douleur qui en moi sommeille

La chance de te voir sous la lune fragile
Elle illumine ton visage qui me fuit
Les étoiles brillent le jour comme la nuit
Et éclairent tout ce qu'on ne s'est pas dit
Touchons les étoiles de nos doigts habiles

Et quand je lève les yeux vers le ciel
Je t'imagine sur une étoile filante
En direction de la lune éternelle
Et de toutes ces planètes tourbillonnantes

Je te promet des nuits qui te donnent vie
Laissons les arrières pensées aux étoiles
N'écoutons pas leurs satanées morales
Mais peignons notre amour sur une belle toile
Qui a pour fond la voix lactée bleuie

Les rêves sont présents dans la nuit brumeuse
Les yeux clos , je chasse mes mauvaises pensées
Par cette douce brise, lentement bercée
Par cette pluie battante je suis protégée
La lune est là , dans son ombre nuageuse

Et quand je lève les yeux vers le ciel
Je t'imagine sur une étoile filante
En direction de la lune éternelle
Et de toutes ces planètes tourbillonnantes

Tourne autour de nous comme un satellite
Toutes les nuits d'été à la belle-étoile
Où je pense à cette vie idéale
Imagine des aurores boréales
Je te vois toi et tes acolytes

La nuit me remplit à chaque fois d'espoir
Les moutons je ne me lasse de compter
Par les songes je me laisse emporter
Sur ma planète tellement désirée
Quand tu es là je ne crains plus le noir

Et quand je lève les yeux vers le ciel
Je t'imagine sur une étoile filante
En direction de la lune éternelle
Et de toutes ces planètes tourbillonnantes
Et ça me fait rêver...

Hypocrazy

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Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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