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Accueil >> xnews >> Je dors mal la nuit - Poèmes - Textes
Poèmes : Je dors mal la nuit
Publié par jean666 le 31-01-2015 17:21:16 ( 914 lectures ) Articles du même auteur



Je dors mal la nuit
Je suis seul dans mon lit
J'ai pris mes médocs
Mes rêves sont loufoques

Les démons de minuit
Leurs rires m'ennuient
Je n'arrête pas de bouger
Je ne suis pas fatigué

Dehors tombe la pluie
J'ai plein de soucis
Faut que j'en parle à mon doc
Demain je serai une loque

Je dors mal la nuit
Je décide de manger un fruit
J'ai bu trop de café
Alors du coup je suis énervé

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Les commentaires appartiennent à leurs auteurs. Nous ne sommes pas responsables de leur contenu.
Auteur Commentaire en débat
Anonymes
Posté le: 31-01-2015 17:51  Mis à jour: 31-01-2015 17:51
 Re: Je dors mal la nuit
Bonjour Jean,

J'ai aimé la fraîcheur et la spontanéité de votre poème.
Vous êtes doués également.

Bon week end à vous.
Bien à vous.

Jacques
jean666
Posté le: 01-02-2015 15:43  Mis à jour: 01-02-2015 15:43
Semi pro
Inscrit le: 18-01-2015
De: Toulouse
Contributions: 85
 Re: Je dors mal la nuit
Merci de votre passage
Mes préférences



Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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