Il a un gout amer, cet Aleatico, Ce vin de haute corse ou de Patrimonio , Une sapidité, que nous offrent les larmes Versées, lorsqu’un ami a dû rendre les armes.
Oh, Ile beauté, quand je boirais ton vin, Mes yeux, vers les nuages, ignorant le divin, Seront tournés, et lors en levant haut mon verre, Je trinquerai à lui, mon éloigné compère.
Alors en mon oreille, j’entendrais dans le vent, Comme un fredonnement, et le doux son d’un chant, Sans doute Corsica de Petru Guelfucci. Qui sera son message :'' a la tienne titi''
Alors, dans mon sommeil, je relirai sa prose, Marquée de ses humeurs, aux fragrances de rose, Me laissant au matin, orphelin de sa plume. En refusant l’idée, qu’ell' puisse être posthume
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