Soyons toujours en relation avec cet enfant tapi en chacun de nous.
Amitiés.

Il y a des goûts ainsi qui nous rappellent des moments doux, tout roudoudous...

J'ai offert un paquet de Frizzy Pazzy à une collègue et des souvenirs sont remontés.

C'est magique...

Merci

Bises

Couscous

Une petite beauté de poème.
Une perle. Un coquillage. Un sucre d'orge. Un souvenir. Un cri. Un rêve. Une larme. Et des millions de regrets.
Marco regrette les bons moments de son enfance car il sait que ceux-ci passés, il ne nous reste rien!
La forme que tu as choisie aujourd'hui : l'exergue à gauche et la réponse au centre est particulièrement efficace. J'aime.
Les vers sont très beaux dans leur simplicité exagérée qui s'appliquent parfaitement à des souvenir de tendre jeunesse.
Bravo. Merci.

Marco,

En te lisant, et en admirant la forme de ton poème, je comprends, je lis les vagues de flux et de reflux des bonheurs de mon enfance. Je vis ton poème avec d'autant plus d'intensité que je suis né au mer de la mer, en Alger la blanche.
Je veux, pour ma part, rester délibérément un enfant, un grand enfant, je te l'accorde.
Et puis lire ce poème un matin de Noël, quel enchantement, quel enfantement dirais-je, en ce jour où l'on fête la naissance d'un petit enfant qui a fait couler beaucoup d'encre et qui en fera encore couler, je pense.

Amicalement.

Jacques