Prémices d'un joli don Pour cette Vie couché au fond de cet espoir aux cheveux blonds Là le viscéral désir tourne en rond Sur une pensée qui se morfond Dans l’image de l’enfant du rebond Ô ne brise pas ma solide amarre Ensemble au port du monde ne soit avare laisse moi Voir tes yeux, ô doux fleurons
Triste fut mon pénible voyage Que parcours ceux qu'on envisage Lumière dans leurs heureux sillages Rien ne fut latent présage De ce que ne sera mon beau visage Alors je suis resté au paradis des anges. Le corps recouvert d’amour Dans les dentelles des mauvais jours O sentiment sois gravé au toujours Ö maman quel dommage Je ne voulais être ta rage Laisse là ton orage Tu ne fus jamais mon otage Ne culpabilise pas sur mon indicible image Seule ma faiblesse fut cet outrage N’ai crainte je traverserai tes âges Dans l’inconscient de ta mémoire sage ☼₣€
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