Heureux est celui qui, sur l’ile de beauté Se dore la pilule de l’automne à l’été Négligeant sans pudeur, du continent, les gens Allumant le chauffage, au jour de St jean
Dés lors il a beau jeu d’alléguer ce nanti Qu’il regrette parfois la pluie de Normandie Ce ciel nuageux qui occupe l’endroit Une partie de l’année, un petit douze mois.
Aussi, l’on peut, sans risque douter, de la franchise D’un type qui vous dit qu’il préfère la banquise Au soleil de Corse, quant il met sur l’ORée La photo de ses pieds, dans l’eau claire,tempérée Qui à la mi-octobre, vous avoue sans vergogne Qu’il moque le touriste, lambda dont la trogne A la couleur rouge vif, brûlée par le cagna Ayant mis sur sa peau, trop peu de Nivéa.
Il tenté d’amadouer, le fourbe, son lecteur En terminant sa prose, en parlant d’une fleur Une rose Normande, exilée, sans famille N’ayant pas réclamée de vivre sur une ile
Ainsi, cela est trop, il faut que cela cesse Au nom des OEriens, Bacchus fais nous promesse D'envoyer par la toile, un peu de ton soleil Et pour Kjtiti ,………………du raisin en bouteille….. !!!!
|