Tu as mis cette magnifique prose poétique de Beaudelaire en vers.
C'est là un très bel exercice, tu as fait "match"
Parmi ses tableaux de la détresse, (je ne me les rappelle pas toutes) tu as choisi la veuve à l'enfant, je pense que j'aurais fait le même choix, plus que la veuve solitaire, ou la rigide ... cette mère offre la possibilté de traduire, d'éclairer l'opposition entre le poids et la légèreté, c'est là que se trouve l'émotion.
Seule restriction sur l'écriture :
Citation :
Parée d'un fin sourire, et l'admirant trotter,
"L' " ce pronom personnel, se trouve trop loin du nom et cela gène un peu la compréhension. Un rappel de l'attribut aurait été souhaitable :
"voyant l'enfant trotter"
Très joli travail, belle lecture.
Merci