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Accueil >> xnews >> La fin de l'été - Poèmes - Textes
Poèmes : La fin de l'été
Publié par JoLadybird le 08-05-2014 22:30:00 ( 908 lectures ) Articles du même auteur



Juillet m'a porté vers toi,
Vers tes lèvres, vers tes bras,
Pour nous offrir les folles joies,
D'une romance qui s'en va déjà.

Car septembre va sonner ;
Il nous faut, mon Bien-aimé,
Oublier ce sable nacré,
Où tu m'as tant choyée.

J'ai tant aimé ta peau,
Quand le soir, derrière les bateaux,
Tu mettais, à l'ombre du port,
A nu mon corps.

Tu seras bientôt si loin,
Loin de moi, de mes étreintes,
Laisse-moi, veux-tu, jusqu'à demain,
Toucher tes lèvres, baiser ta main.

Ecris-moi tous les jours,
A travers les mots nous ferons l'amour.
Promets-moi l'an prochain ton retour,
Et je t'aimerai pour toujours.

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Auteur Commentaire en débat
emma
Posté le: 09-05-2014 17:12  Mis à jour: 09-05-2014 17:12
Modérateur
Inscrit le: 02-02-2012
De: Paris
Contributions: 1494
 Re: La fin de l'été
N'étant pas une grande fan de la rime unique que je trouve un petit peu monotone, c'est surtout la troisième strophe :

J'ai tant aimé ta peau,
Quand le soir, derrière les bateaux,
Tu mettais, à l'ombre du port,
A nu mon corps.

que je trouve belle et touchante.

Ah ! l'amour ne finit pas de nous inspirer !!

Amitié,
Mes préférences



Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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