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La lumière triomphe sur l’ombre de l’échec’’
Retrouve-moi dans un désert sans fin, avec une bouteille de vin en main Marchant à l’infini en regardant l’horizon qui est sans fin, je cherche mon idéal mais en vain Le vent est chaud, le ciel est noir Je m’approche de quelque chose, et soudainement, je tombe dans le noir.
Tout est si noir autour de moi Tout est si triste autour de moi J’appelle même le ciel mais il ne me répond guerre Je me rends compte que je touche le fond Tu sais ? Ce fond noir ou tout est si sombre Le ciel auquel je suis marié depuis tant d’années vient de me tromper Je me sent trahi, moi qui a tant prier, voilà que je suis tombé
Dans ce trou, aucune lumière Ce si beau jour n’existe jamais Mes cernes entrent en guerres J’ouvre mes veines, j’exprime mes peines Sur un mur de haine
Errance dans ce trou du siècle Que faire, je gratte les murs Je ronge mes ongles longs et durs Et je Tourne en rond ne sachant quoi faire
Ma tête tourne à l’envers comme si j’avais trop bu d’alcool Le temps s’écoule , les aiguilles tournent , je rève de tournesol Mais je passe le temps , à me tourner sur le sol Ma tète tourne à l’envers , je regarde le soleil décrire une parabole Plus Les secondes s’écoulent, et plus j’espère que l’eau du temps me mènera à la surface Mais le temps s’écoule, oui et donc ne sèche pas mes larmes Ce temps qui est une lame taillade mon âme et la mort me charme
Je ne peux pas m’apitoyer sur mon sort Moi qui es tant marché dans ce désert, abandonné, serais médiocre
Alors comme un chien, je creuse un terrier Un terrier comparable à mes ambitions les plus fortes Un terrier qui comblera ce trou dans lequel j’ai plus de force Une goute puis plusieurs gouttes qui viennent du ciel tombent sur mon torse La pluie abats ses lignes , le ciel ne m’a pas oublier Il attendait juste que j’ouvre les yeux et que je rajoute du sable dans mon sablier
Cette pluie, cette eau de réussite Elle tend les bras , je n’est qu’a les saisir Non loin de là ce bord que j’ai tant convoité Je le saisi et là , tout cet immense trou fait partie du passé
J’ai reussi a ressortir la tète de ce périple horrible Le ciel devient tout à coup bleu Le soleil m’éclaire tel une bénédiction Me tournant , je continue de marcher vers mon horizon J’ai juste les yeux ouvert j’évolue de façon certaine J'aperçois sur la terre beaucoup de clous et de trou Mais l’essentiel est cette lumière lointaine
Homme, tu a des envies auquel tu cogites Ne crois pas qu’elles sont utopiques Si l’échec est une femme , j’aimerai ètre misogyne Car la mort est son synonyme .
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