Cette nuit, je me dirige vers le tombeau sacré Mes mains tremblent à force d’écrire je deviens colérique Cette nuit, je deviens hystérique, cette mort sera orchestrée Mais je veux Juste m’évader et te montrer mon monde mélancolique
Vient avec moi entre dans le monde noire imagée Rien qu’une salle contrastée de tous les cotés Comme tu vois ma personnalité est dissociée Dieu et diable , des deux côtés opposés
J’Ouvre une porte , j’entre dans la salle blanche Rien qu’une salle sainte pour mon âme en transe Rempli de croix mais aussi de lames tranchantes Dans mon monde , esprit et matière se mélangent
Descendons les escaliers , allons dans la salle rouge Sur une porte est accroché mon cœur et du sang coule En entrant , la macabre scène d’un cadavre drôle Accompagné d’une femme violet habillée en rose La puanteur accroît lorsqu'on évolue dans la pièce
La puanteur infeste , d’excrément d’insectes De pues de boutons rouges qui explosent Tu regardes et tu as peur de la chambre morose ? Moi non ! Car elle est bien éclairée et j’aime son ambiance cauchemardesque .
Plus loin dans le couloir noir Une porte , un soleil et la lune dessinée Bondissant , je te laisse découvrir la salle est rose et jaune Rose est l’amour et jaune est l’hypocrisie en société
Femmes toujours sur ma bouche , fauves en plein rites La salle est divisée en deux comme ma personnalité que je pense émérite . Rose d’un côté , là où tu trouveras un cœur rose broyée Rose d’un côté , là où tu trouveras des miroirs brisées Rose d’un côté ou tu trouveras le tableau d’une famille unifié
Jaune d’un côté ,là où tu trouveras un mannequin au sourire jaune Jaune d’un côté , là où tu trouveras un homme riche faire l’aumône Jaune d’un côté , là ou trouveras un soleil triste avec la moitié du visage dans l’ombre Au milieu de la salle règne une chaise et dessus un renard au regard hypnotique d’un monstre L’ambiance de la salle fait tourner les têtes dans le sens de l’aiguille d’une montre .
Du sud au nord , je me déplace en évitant la sournoiserie et son regard trompeur J’ouvre cette porte qui me mène dans la salle dont je ne distingue aucune couleur Une salle dont je ne sens aucune odeur Une salle vide , pas divisée en deux avec une chaise au cœur
L’envie de s’installer , s’installe très vite Cette solitude fait partie de ma vie Elle m’aime comme si j’étais son fils Elle me rappelle le tout début de ma vie Elle me rappelle aussi l’ambiance de la fin de ma vie
Sortant de cette salle , je remonte et me dirige vers la porte principale La ou ma personnalité dévoilent sa face à moitié La ou tout le monde me regarde , me parle là ou tout le monde pensent connaitre ma vrai personnalité
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