| A + A -
Connexion     
 + Créer un compte ?
Rejoignez notre cercle de poetes et d'auteurs anonymes. Lisez ou publiez en ligne
Accueil >> xnews >> For ever - Nouvelles - Textes
Nouvelles : For ever
Publié par tagazou le 22-10-2013 11:00:00 ( 1021 lectures ) Articles du même auteur



Avant que Paris ne m'évince
Et que d'un crochet au menton
Puis d'un "Direct" vers la province
Ne m'envoie comptant les moutons...

Avant que la ville lumière
Ne me frappe de cécité
Et que l'Ile de France entière
Ne m'ôte le droit de Cité

Je veux que la fière bourgeoise
Me salue d'un coup de chapeau !
Je pars sans lui laisser d'ardoise...
Et sans lui planter de drapeau...

Mais Dieu ! Faites que la fatale
N'apprenne qu'en tirant le trait
Ma peine a été capitale...
Et que mon cœur a son portrait.

Article précédent Article suivant Imprimer Transmettre cet article à un(e) ami(e) Générer un PDF à partir de cet article
Les commentaires appartiennent à leurs auteurs. Nous ne sommes pas responsables de leur contenu.
Auteur Commentaire en débat
Loriane
Posté le: 25-10-2013 00:01  Mis à jour: 25-10-2013 00:01
Administrateur
Inscrit le: 14-12-2011
De: Montpellier
Contributions: 9505
 Re: For ever
Citation :

Avant que la ville lumière
Ne me frappe de cécité
Et que l'Ile de France entière
Ne m'ôte le droit de Cité

Ton adresse en écriture force mon admiration.
Merci
Mes préférences



Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

Connexion
Identifiant :

Mot de passe :

Se souvenir de moi



Mot de passe perdu ?

Inscrivez-vous !
Partenaires
Sont en ligne
104 Personne(s) en ligne (10 Personne(s) connectée(s) sur Textes)

Utilisateur(s): 0
Invité(s): 104

Plus ...