Parmi tous ces chemins que l’on connait bien S’enfuyait mon destin tel un vaurien. Vingt mois de trop sous un seul toit, Déjà au trot, m’éloignaient de moi. Par l’échangeur commence l’aventure, Moteur à l’heure de battre la mesure. Partir vraiment ou partir tout le temps Pourvu que le voyage commence maintenant. Assez parler laissons chanter On the radio « Ma liberté … ». Quatrième, cinquième … la catharsis, Never stop on soixante-six. Coûte que coûte continuer Le bonheur se trouve à l’arrivée.
Sans toi, ni toit un beau matin Routard dans l’âme et sans chagrin. Ici, ailleurs ou même nulle part Une vue perdue, seul le brouillard. Et pour une fois, je me sens bien Mon destin volant dans mes mains !
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