Ces touristes sans respect pour les sites qu'ils visitent, ils me révoltent ! En plus, il y a avait de mes compatriotes ! Si je les croise, je leur jetterai les cannettes vides à la tête.
T'as des noms ou des photos ?
Quand ce ne sont pas des mégots jetés qui provoquent des incendies ...

Merci Bacchus.

Tout bien considéré, Couscous, et pour être juste, il peut s'agir d'un groupe d' Auvergnats ayant un faible pour la bière Belge.
On peut rentrer les couteaux

Joli poème, le tourisme va malheureusement souvent de pair avec la pollution, je ne dis pas que tous les touristes sont des pollueurs, mais il n'empêche que beaucoup d'humains polluent la nature.

Hello !
j'ai bien ri en lisant ton texte, en particulier à l'évocation des "précautions" amoureuses laissées au gré des sites naturels.
Certains touristes sont vraiment des porcs, pourtant tu ne les condamnes pas avec force et tu gardes pour eux une bienveillante sympathie.
J'admire ta tolérance qui est loin d'être dans ma nature ! J'estime que lorsque l'on vient chez autrui, il faut être doublement vigilant sur l'hygiène et le respect que l'on doit aux locaux.

Hello, Emma.
Tu as raison . J'ai, pour les touristes de ma couche sociale, une bienveillance toute paternelle. Il faut savoir que j'ai toujours classé les touristes, en Corse, en trois catègories: Les invisibles, dont les yachts ou hydravions dorment au pied des très grands palaces de bord de mer, ceux qu'on n'aperçoit jamais et pour lesquels on se demande ce qu'is peuvent bien être venus faire ici.Les friqués, que l'on peut entrevoir sur le pont de leurs yachts ancrés au port, le soir, à l'heure de l'apéro, quand ils semblent être en représentation devant les badauds qu'ils ont l'air de ne même pas remarquer. On peut aussi les admirer plus tard, aux terrasses des restaurants où on ne dinera jamais, en profitant des chanteurs et musiciens qui sont là pour leur donner l'impression qu'ils prennent un bain d'authenticité.
Et puis il y a mes touristes, ceux qui ressemblent tant à celui que j'ai été, avec ma petite famille, ma petite auto et ma petite caravane . Bien sur, il y en a qui polluent : ceux qui n'en sont même pas conscients, ceux qui ne voient aucune raison d'être plus propres en vacances que chez eux et ceux qui prennent du plaisir à pourrir l'endroit où ils mangent. Je ne sais pas pourquoi les Italiens ont l'air de tirer beaucoup de plaisirs à laisser des traces de leur passage, alors que les Allemands pararaissent se déplacer avec poubelles, balais et serpillères..
Comme je l'ai fait cet après-midi, j'aime regarder les vacanciers du petit peuple, mes frères, se donner, durant une courte pèriode, la joie de manger des glaces, de laisser leurs gamins courir dans les rayons pour rapporter des choses superflues qu'ils demandent à leurs parents et j'adore voir ces parents hocher la tête, en sachant le plaisir que cela leur procure, à ces parents, d'oublier de compter, quelques jours dans toute l'année, peut-être pas tous les ans.
C'est vrai, Emma, je suis devenu bienveillant. Cela vient probablement de mes origines, d'une époque où je n'imaginais pas ce genre de vacances. Alors, c'est vrai aussi : comme je le dis dans mon petit poème, le temps, la nature, quelques autochnomes grognons et un Bacchus plutôt rigolard passeront pour effacer des traces si éphémères.
Tiens ! je dirais même qu'elles m'émeuvent un peu quand j'en retrouve, en hiver !

C'est vrai que les humains sèment leurs cochonneries partout, mais en Europe c'est assez limité, dans certains pays c'est le cauchemar total, moi ça m'attriste, ce manque de respect pour notre lieu de vie est un signe de barbarie et ça va souvent ensemble.
Bacchus, tes catégories de touristes en Corse sont intéressantes, pas faux, pas faux !!
Merci