O mon esprit installe ma douce passion Que tes bourrasques folles esquivent mes heurts Quand dans la nuit noire du désespoir je pleure A ne point donner vie à ma juste raison
Tu m’enchaînes à l’addiction de ne plus être Passager des instants je sombre dans l’habitude Qui ferme vos yeux curieux à la béatitude Et vous enlève joie d’ouvrir d’autres fenêtres
O ma passion je m’assieds là à tes cotés Nul ne peut contrarier ton menu infini Dont je me repais gai avec voracité
Le temps est absent, merci, j’en suis si content Dans tes bras mendiants je construis mon roman Seule es-tu à lire mes désirs inconscients ☼₣€
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