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Accueil >> xnews >> Vale Cor - Poèmes confirmés - Textes
Poèmes confirmés : Vale Cor
Publié par Terra le 16-03-2012 01:37:07 ( 1078 lectures ) Articles du même auteur



Des mélodies transpirantes
Lourd, un coucher de soleil

Si l’orange du ciel se glisse sur tes yeux
Le reflet qui s’offre à moi, si bleu

Encore, fermes les yeux, tu dors
Tes mains, ton corps sont encore si forts


Sans un adieu, sans aucun recul
Nos souvenirs sont si noirs
Avec un adieu, sans rencontres nocturnes
Alors attendons demain pour voir


Les notes merveilleuses
Légères, un coucher de lune

Puisque l’obscurité du ciel déborde de tes yeux
Le reflet de la lune qui nous rend heureux

Encore, fermons nos yeux, oublions
Nos mains, nos corps en pleine union.
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Auteur Commentaire en débat
Loriane
Posté le: 16-03-2012 23:17  Mis à jour: 16-03-2012 23:17
Administrateur
Inscrit le: 14-12-2011
De: Montpellier
Contributions: 9500
 Re: Vale Cor
Encore une fois tu fais passer beaucoup de choses dans la construction du poème.
J'aime l'équilibre qui s'articule autour de la strophe centrale.
L'ensemble est léger.
Toujours tes jolies images le soleil puis la lune et toujours les yeux.
Une coquille :
fermes les yeux, tu dors
ferme les yeux, tu dors
Merci
Terra
Posté le: 27-03-2012 23:26  Mis à jour: 27-03-2012 23:26
Plume d'Or
Inscrit le: 19-02-2012
De: Snake eye
Contributions: 371
 Re: Vale Cor
Merci Loriane :)
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Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.
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