L'absence est souffrance, au sommet des mes plaintes, il y a une envie, Au sommet de mes pleurs, Ne reste qu'une vie
Qui coule et lacère un cœur tendu, Sous l'enclave de l'absence, l’univers s'est fendu. Tais-toi, regarde couler ma bouche à ta main amarrée, Regarde mon sang qui se perd à force de crier, Tu ne ressens plus rien mais peux-tu ressentir, mon corps se tordre à t'en faire pâlir ?
Tu ne ressens plus rien , mais oses tu mentir. A celle que tu nommes, ton amour ta femme, ta douceur. La femme s'est construite il y a longtemps déjà . L'amour sous le vide à petits pas s'efface. La douceur disparaît à force d'être lasse.
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