Mon ami de la longue nuit ,je te prie Ouvre la porte, de cette cohorte Ces soucis intriguant mon esprit Ils portent les stigmates, du désordre
Tu voulais pour sûr, connaître l’amour Pleurer sage, toutes tes viles peurs Au détour chaque jour, sans retour De ce train balbutiant, son malheur
Dans le jardin, de tes rêves enfin Tu marchais sur mes pas attachés A ton puritain, que je voulais serein Devant ma beauté dansantn dans les verts prés
Trop joyeux tu dévalais sérieux Vers ce corps saillant, dans le versant Tu bisais vertueux , mon cou soyeux Amant de mes lèvres, papillons mendiants
Te voilà mystique, de ta pratique De prier ta volonté, de devoir se plier A ce mirifique cadeau, de l’initiatique Crier ton amour ,sans n’en rien nier
A l’éveil sache ! Non tu ne me réveilles A ton rêve laisse-moi, que sonne trêve Je surveille ta passion ,des merveilles Ta fièvre, pour mes grands yeux Sèvres
Tu dévoiles mon extase, sous ton voile De bontés, qui pense à ta bonne santé Ne plus t’entoiler, dans la mauvaise toile Qui couvre huppée, tes pensées damnées.
Alors reste avide, près de moi, soit preste Pour découvrir, mon flamboyant sourire Et leste tu me surprendras, dans cette messe Celle de t’appartenir ,sans jamais me départir. ☼₣€
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