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Accueil >> xnews >> Juste avant de mourir - Poèmes - Textes
Poèmes : Juste avant de mourir
Publié par cesarvii le 13-05-2013 10:50:00 ( 1095 lectures ) Articles du même auteur
Poèmes



Toi mon ami,
Oui toi sur mon épaule.
Toi qui berce ma vie,
Toi qui dessine mon rôle.

Ai-je besoin de toi,
Assis sur mon épaule.
Tu me dicte ta loi,
Tu me hante tu m'affole.

Ne ris pas s'il te plait,
Oui toi sur mon épaule.
Je me trouve laid,
Et puis toi tu rigole !

Le bonheur te sourit,
Oui toi sur mon épaule.
Bien moi il me fuit,
Et enfin je m'envole.

Voilà je suis parti,
Sans toi sur mon épaule.
Tu ma quitté la nuit,
Avant ma course folle.

César

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Les commentaires appartiennent à leurs auteurs. Nous ne sommes pas responsables de leur contenu.
Auteur Commentaire en débat
Loriane
Posté le: 13-05-2013 16:35  Mis à jour: 13-05-2013 16:35
Administrateur
Inscrit le: 14-12-2011
De: Montpellier
Contributions: 9505
 Re: Juste avant de mourir
Ah ! l'ami celui qui nous guérit lorsque l'on se trouve laid !

Citation :
Ne rit pas s'il te plait,
Oui toi sur mon épaule.
Je me trouve laid,
Et puis toi tu rigole !

Des fofotes, :
et surtout toujours la même. N'oublies pas que la deuxième personne prend un S au présent.
Citation :
Ne rit pas
ne ris pas.
Tu en as mis aucun, tu vas trop vite. Je sais que tu vas répéter, tu vas jouer quoi ?
Merci pour le plaisir.
Mes préférences



Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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