Souvenirs d'antan
O doulce damoiselle au hennin de velours, Que peines j'ai subi sur la carte du Tendre, Et moult désarrois que ne pouviez entendre En vous esbaudissant en haut de votre tour.
Quand j'entrerai en lice, arborant vos couleurs; Ne tournez point les yeux vers l'autre, O cruelle ! Et là , s'il m'arrivait de prendre une gamelle, Votre main sur mon front oterait ma douleur.
Quand, il y a longtemps, jouant à la bergère, Que j'étais le mouton que vous aviez tondu, Et que, déjà , enfant mon coeur s'était rendu, Que vos mains, en tondant, me paraissaient légères !
Et puis quant vint le temps.....
Houla ! Je crois que je suis resté trop longtemps appuyé sur " return " !
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