Jamais le Monde n'a porté en son sein de Créature aussi, belle, aussi désirable, aussi charmante, que toi, mon Aimée. A chaque fois que je pose les yeux sur toi, je ne peux m'empêcher de remercier ce Créateur Universel. Car c'est lui qui m'a offert cet insigne privilège de t'idolâtrer. Et si je pouvais bâtir mille Temples d'Or et d'Argent destinés à te vénérer, je les élèverai sans hésiter. Si je pouvais clamer à la face de nos Déités ces vers enchantés, afin de me permettre de t'élever comme jamais au-delà de ces cimes enneigées, je le ferai. Si j'étais capable de dépeindre, par mes Mots sublimés, cette passion effrénée qui enchaine a toi ma Destinée, nul ne me l’interdirai. Parce que, si mes sentiments pour toi sont teintés de feu, ils plongent leurs racines au plus profond de mon Ame ensorcelée. Et mon cœur, quant à lui, ne peux résister à cet appel désespéré et irraisonné. Puisque je suis celui qui a choisi de t'offrir pour l'Eternité des Eternités cette Passion exaltant cette parfaite Beauté. Puisque, aussi, j'ai décidé de me donner entièrement et sans retenue à cette femme qui, pour moi, représente ce que Noblesse, Séduction et Esthétisme, dans ce qu'ils ont de plus élaborés. N'oublie jamais, toi qui lit ces lignes générées à partir des rêves les plus immodérés d'un homme condamné à se damner pour approcher, en vain, celle qui l'a capturé, que celui-ci est profondément blessé. Car en effet, il lui est impossible d'aimer une Etoile adulée, tout en se considérant chien errant ou mendiant fuyant la folie pour le Néant. Il n'y a d'autre grandeur dans cet Amour inusité, que de rester dans l'ombre de cette personne magnifiée. C'est dans le but de l'accompagner dans sa Quête de Vérité sur cette Liberté abandonnée au profit de ceux qui devinent sa fragilité, que je me contrains à cacher ce qui m'émeut tant chez elle. Car si je l'aime, c'est pour elle ; quitte à m'oublier dans le but de lui apporter bonheur et prospérité ; même si ces derniers ne sont pas issus de ma propre volonté... Dominique
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