le brouhaha des violences du monde Mon esprit voudrait décapiter cette dépendance Celle Qui vous ronge d’un traumatisme pérenne Alors il est prières qui rejoignent en ronde Le grand fond des cieux de l’inconnu néant Alors litanies s’envolent haut Comme oiseaux partis vers la prospection De beaux épis de blé de prédilection
Dieu ! Si tu es ! J’eus aimé Au grand fond de mon humilité Donne-moi la présidence De ta bonté que je porte assistance À ces pauvres affamés Qui périssent à tes pieds
Dieu ! Si tu es ! J’eus aimé Au grand fond de mon humilité Nomme-moi, nouveau roi De ta charité et que cesse l’effroi De ces pauvres oubliés Qui prient à tes pieds
Dieu ! Si tu es ! J’eus aimé Au grand fond de mon humilité Inscris- moi; dictateur De ton humilité que s’essouche la peur De ces pauvres enchaînés Qui pleurent à tes pieds
Dieu ! Si tu es ! J’eus aimé Au grand fond de mon humilité Accorde moi, d’être instigateur De ton amour que je dépose en cœur Sur les pauvres abandonnés Qui t’adorent à tes pieds
Dieu ! Si tu es ! J’eus aimé Au grand fond de mon humilité Ne permet plus aux hommes Ceux du pouvoir qui assomment De parler en ton nom de la guerre erronée Traduit les à ta justice des châtiés
Dieu! Es tu prêt ! J’eus aimé Au grand fond de mon humilité Donnes-moi l’insatiable volonté De croire devant tant de difficultés Que pour ces pauvres ravagés Je ne serai plus à tes pieds
Puis-je être rassuré Quand mon esprit me dit inquiet Seuls les hommes t’ont imaginé Pour mieux assouvir l’humanité Quand les affabulateurs aisés nous trompent Au nom d’un nom sorti du néant inventé. ☼ƑƇ
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