CapGing

Un texte sur un sujet qui peut choquer pour des personnes qui ont perdus un être cher......

Un transfert sur quelque chose attention à ne pas le perdre cet ami qui peut partir bien vite sur un autre chemin...
L’appétit paraphrasé ou non texte pour évoquer il existe surtout un univers réel et difficile que l'on a parfois peur d'affronter et chacun à son degré plonge dans un réconfort mais est-il vraiment utile de se détruire la santé ?

Comme je l'ai dit dans mon premier texte, je ne suis pas ici pour choquer, mais pour exprimer ce que je ressens, ce que je vois.
Certains essayent d'échapper à la réalité à travers diverses moyens, celui-là en fait partie.
Je n’acquiesce pas cela, et ce que j'exprime ici n'est pas un consentement, ni une accusation, mais une alarme.

De tout temps, sous toutes les latitudes, une partie des humains se sont toujours shootés.
Parmi nous il y a ceux pour qui faire face au réel est difficile, très difficile ou trop difficile.
Chaque ethnie, clan ou civilisation ont produit, des choses qui se boivent ou se fument ou s'injectent, à base d’alcaloïde, de végétaux etc... c'est vieux comme le monde et parmi ces drogues ont peut aussi y compter des croyances qui enivrent.
Ne compter que sur soi est une richesse qui n'est pas à la portée de tous.
Dommage qu'il n'y ait pas plus d'images, de suggestions dans tes vers.
Merci

Bonjour,
Le thème de l’addiction et de la drogue est bien souvent abordé par le poète qui oscille entre fascination et répulsion.

Beaucoup d’auteur ont traité du vin, de la fée verte ou de l’opium
C’est bien Baudelaire qui est à l’origine de l’expression : « les paradis artificiels », celle-ci étant le titre d’un essai littéraire qu’il a produit sur les effets de l’opium et du haschisch sur la créativité artistique.
Je suis allée rechercher une citation de cet essai (téléchargé sur wikipédia) qui m’a fait penser à la fin de ton texte :
« Hélas ! Les vices de l’homme, si pleins d’horreur qu’on les suppose, contiennent la preuve (quand ce ne serait que leur infinie expansion !) de son goût de l’infini ; seulement, c’est un goût qui se trompe souvent de route. »

J’ai aimé ton texte, mais je pense que tu t’es concentré sur « qu’est ce que j’ai envie de dire ? ». Et pour moi, il faut surtout se focaliser dans l’écriture sur comment dire les choses ?
Eternel débat entre le fond et la forme…

J’ai néanmoins apprécié cette lecture et le sujet abordé.

Tu as visé juste.
Ma paraphrase venait de Baudelaire ; " L’univers est égal à son vaste appétit ", même si dans son poème il n'est pas utilisé dans ce contexte.
Merci.