Les jours passent, ils forment des semaines Des semaines qui forment des mois Puis des mois qui forment des années Et chaque jour je vous revois
Ne serait-ce une charmante Emma Et ne serait-ce Loriane au loin ? Qui de ces poèmes me laisse pantois Qui à la guise des mots nous parlent si bien
Et j’aperçois non loin l’ami Ironik Oh Astre qui nous émerveille Ces écrits nous lancent au sein des mondes oniriques De par sa prose éternelle
C’est là que j’admire Tchano Dominic913 et ses comtes magnifiques De par sa plume qui nous envoie si haut Pour nous emmener aux pays féériques
Anteros nous fait grâce de belles phrases Et Archange qui de ces poèmes Des mots qui nous mettent en phases Encore et toujours nous désarçonnent
Malhaire, petit malin Et Dumont011, le petit mesquin De si beaux écrits Pour nous perdre dans l’infini
Oh Lucinda, la jeunesse éternelle Bacchus le roi La gentillesse elle-même Celui dont l’adresse laisse en émoi
Et pardon encore à tous ceux Que je n’ai pas cité Et merci encore à vous tous Vous qui par votre plume, nous faite rêver
Les jours passent, ils forment des semaines Des semaines qui forment des mois Puis des mois qui forment des années Et chaque jour je vous revois .
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