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Poèmes : Inspiration ambiguë
Publié par CapGing le 09-02-2013 19:50:00 ( 1040 lectures ) Articles du même auteur



Petite blonde suicidaire au regard si attirant
Si prenant si méchant si tendre et tant attachant
Crois pas qu'en deux pas tu l'attiras vers toi
Caractère de femme libre loin du Dalaï-lama
Crois moi ou pas je suis pas du style là
A faire le loveur bouzeux qui n'en crois pas ses yeux
Exprimer ce que j'observe et ressens c'est tout ce que je veux
Jamais je lui serai soumis pourtant à chaque fois je lui souris
A travers ce putain de fort caractère qui croit que jamais personne sur Terre
Ne pourra la monter en l'air
Même si crois moi c'est dur de le faire
Mais quand tu perces tout ça
Tu perds tout ce que t'as
Car il n'y a plus qu'elle dans ton cervelet
Et c'est au cervelas
Que tu te morfondrais
Si elle n'était plus là
Car elle fait partit de ta vie
Même si tu n'en as pas envie
Malgré toi elle a prit de toi une petite partie
Tu ne peux rien y faire
Et même si tu veux t'en défaire
Tu ne peux pas parce qu'elle et toi
C'est comme ça et ça le restera
Enfin tu l'espères, ton flair
Et ton air déconfit
Quand elle s'approche trop de mec te dit
Que la jalousie est ici
Tu comprends alors que tu t'attaches
Et que ta tâche n'est plus de t'attacher
Mais de la rendre heureuse
Et heureusement qu'elle est là
Faut être franc et entreprenant
En pensant à être son confident
Si tu veux la garder gars démarre
Ta galanterie avant de tout gaspiller
Ne laisse pas couler ta douce
En te la coulant douce
Jouer le beau en boxer
Sert à rien si tout ce que tu sais faire
C'est être flatteur
Et avoir peur
De montrer ce que t'as dans le cœur
Mon grand enlève tes gants
Il est grand temps
D'arrêter de faire le méchant
Je te dis pas de faire le prince charmant
Mais même le plus fort des Mohicans éprouve des sentiments
Montre lui ce que tu as dans le bide
Ce n'est pas que du vide
Change ce regard livide
Pour qu'elle puisse lire vite
Ce que tu as sur ta putain de vitre
Aller lâche toi laisse pas passer
Cette sacré opportunité
Mais n'oublie pas que rien n'est parfait
Et si tu n'as pas fait
L’expérience payante d'une histoire d'amour
A mourir debout
Tu te feras lésé avec un grand B
Car une fois que tu es dépendant
D'une personne sonne
Une nouvelle ère érigée
Par ton humeur contrôlée
Par un autre biais que ta pensée
En tout cas casse pas ton histoire
Car malgré tout l'amour reste rare
Si il doit y avoir une fin
Alors je feinterai la mort grâce à l'amour

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Les commentaires appartiennent à leurs auteurs. Nous ne sommes pas responsables de leur contenu.
Auteur Commentaire en débat
Loriane
Posté le: 09-02-2013 21:44  Mis à jour: 09-02-2013 21:44
Administrateur
Inscrit le: 14-12-2011
De: Montpellier
Contributions: 9500
 Re: Inspiration ambiguë
Tu es très inspiré.
Ton style est celui de ceux qui s'interrogent sur l'amour.
Beaucoup de vocabulaire, des sentiments ...
Quelques fautes d'orthographe mais sans importance pour l'instant.
Surtout continue

Bienvenue sur l'orée et je te souhaite de faire une bonne route avec nous.
Tu peux aller te présenter dans le forum sur "qui je suis"
Si tu as besoin d'aide n(hésite pas à demander par messagerie ou sur la box.
Tu ne pouvais publier qu'un seul texte par 24 H , aussi je les ai programmé pour demain et après demain.
Tu les verras réapparaître.
Merci
Mes préférences



Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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