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Accueil >> xnews >> En réponse à Lucinda dans" Un rêve qui déviendra réalité" - Poèmes - Textes
Poèmes : En réponse à Lucinda dans" Un rêve qui déviendra réalité"
Publié par astre le 03-02-2013 02:55:07 ( 1128 lectures ) Articles du même auteur



J'espère que ce n'est qu'une fiction du fond de mon âme...

Des médecins qui ne choisissent pas de faire le vœu de sauver de vies mais d'en ôter.
Voilà à quoi sont réduit les médecins militaire c'est à celui qui en tuera le plus comme dans chacune des guerres.

Ceux que j’aime sont les déserteurs
S’il n’y avait qu’eux la vie serait meilleure
Plus l’ombre dans les rues d‘un fusil
Aucune manière d’enlever des vies
Quand quelqu’un parlent de militaires
Quoi qu’il en soit je ne puis me taire
Ils arrachent aux supérieurs les noms
De ceux qui dorment dans les cimetières
Si ce que je te dis ne te semble pas profond
Regarde ce qu’ils ont commis hier.

http://www.youtube.com/watch?feature=endscreen&v=N1zZ8sh_IPU&NR=1

Ceux que j’aime ce sont les docteurs
Qui ont choisi de soigner les cœurs
Ou bien guérir les cancers
De faire dans l’humanitaire
Ce qu’il faut sauver
Ce ne sont pas les porte-monnaie
De ceux qui manipule
Ôtant des vies sans scrupule
Pour leurs petits profits
Et ceux de leurs amis

Et dans toutes les guerres des deux camps
Les manipulateurs se frottent les mains
Et n’en ont rien à faire de qui l’on décent
Et quand on l’annonce aux mamans
Le premier souvenir qui leurs vient
C’est bien souvent,
Le sourire de leurs gamins.
Qu’elle qu’en soit le camp.

Si néanmoins ce n’est pas une fiction
Alors regarde bien ce n’est pas en soigner 100 c’est en tuer plus d’un qui seront leurs cibles.
Moi je dois te dire que ton texte me crible car dans toutes les guerres il y a un enfer.

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Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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