La pluie … Les emmerdes et les autres choses Elles sont se qu’elles sont et rien d’autres Les nuages … La luminosité à fortes doses Elles ne sont que poussières, les nôtres
Et Columbia encore et Columbia encore Explosions de suspens, de speed, de nerfs Et Columbia toujours et Columbia à mort Sensations de déshydratation, nous, poussière
Yeah yeah yeah ! Allez, vas-y ! Allez, vas-y ! Yeah yeah yeah ! Allez, vas-y ! Oui vas-y !
Le soleil … Les tracas de la vie, de la fin Elles sont se qu’elles sont et c’est tout Le ciel … L’ombre qui peu à peu couvre le matin Elles ne sont qu’images, images floues
Et Columbia à jamais et Columbia à jamais Expulsion d’images excitantes et entraînantes Et Columbia pour toujours et Columbia ramenée Exposition de sens et d’une âme tremblante
Yeah yeah yeah ! Allez, allez, allez vas-y ! Yeah yeah yeah ! Allez Columbia de la folie !
(Reprise)
Et si la pluie .. Et si le soleil n’existait plus ? Alors mes larmes ne sècheraient plus Et si les nuages … Et si l’ombre n’existait plus ? Alors plus rien ne cacherait ma douleur
Et Columbia encore, Columbia s’il te plaît Toutes ces infusions d’images choquantes Et Columbia toujours, Columbia à jamais Les expressions de bonheurs grandissantes
Eh oui Columbia ! Allez, vas-y ! Vas-y ! Eh non Columbia ! Allez Columbia de ma vie !
Et si le monde … Et si la mort ne vivait plus ? Alors la vie ne ferait que se ressasser Et si le monde … Et s’il se coupait en deux ? Alors jamais plus nous ne pourrions nous rencontrer
Et Columbia pour toujours, Columbia d’un jour Toutes ces frustrations ramenées sans cesse Et Columbia pour toujours, Columbia d’un amour Les intentions d’une si futile vieillesse
Eh oui Columbia ! Alors vas-y ! Vas-y ! Eh oui Columbia ! Alors Columbia va dans l’immense oubli !
(Reprise*)
Le mur … Le mur qui maintenant nous unit Il n’est qu’un tas immense d’ordures Les étoiles … Les supernova d’autres mondes Elles ne sont que de simples coupures
Et Columbia encore, Columbia à tort Exploration de nos immenses subconscients Et Columbia à mort, Columbia d’alors Implantations d’esprits s’assemblant
Columbia, oh douce Columbia ! Vas-y je t’en supplies ! Oui Columbia, Merveilleuse Columbia ! Vas-y au péril de ta vie !
Le doute … Les insultes et les autres choses Elles sont se qu’elles sont et pas d’autres Le stress … Les ivresses à très fortes doses Elles ne sont qu’hallucinations, les nôtres
Et Columbia encore et Columbia encore Explosions de suspens, de stress et de nerfs Et Columbia toujours et Columbia à mort Hallucinations de sphères, nous, amères
Yeah yeah yeah ! Allez, vas-y ! Allez, vas-y ! Yeah yeah yeah ! Allez vas-y ! Oui vas-y !
(Reprise**)
Vivre éternellement … Pour toujours et toujours Un rêve pour certains, cauchemar pour d’autres Vivre pour toujours … Et voir passer les heures, les jours Un cauchemar pour demain, rêve pour nos ôtes
Et toi ? Qu’en penses-tu ? Une suite de matins tous perdus Et toi Columbia ? En veux-tu ? Une suite de soirs tous diffus
Oui, oui et oui ! Allez, vas-y je t’en supplies ! Oui, oui et oui ! Allez, vas-y ! Vas-y !
Mourir éternellement … Pour toujours et jamais Une euphorie entraînante chaque secondes Mourir tous les jours et pourtant ne jamais oublier Une asphyxie excitante chaque jours de ce monde
Et toi ? Qu’en dis-tu ? Une panoplie d’heures mémorisées Et toi Columbia ? En veux-tu ? Une panoplie de mois inoubliés
Oui, oui et encore oui ! Allez vas-y ! Oui, oui et oui ! Allez vas-y !
(Reprise***)
Juste un jour, une seconde, une heure Ne regardes pas en arrière avec colère Juste une semaine, un mois, une année Assis-toi près de moi, près de tes frères
Alors Columbia ne penses pas à mal Car personne ne sait où tu es Alors Columbia ne cherches aucune faille Car tout le monde te voudrais
Juste un jour, une seconde ! Vas-y Columbia ! Juste une heure, une seconde ! Vas-y Columbia !
Et dans ton épopée silencieuse Columbia tu sais que Sally peut attendre Mais dans cette atmosphère audacieuse Columbia tu sais que Sally va se rendre
Alors commence ta révolution Car en vain je te cherche Alors n’attends pas toute mon attention Car sans peines tu me cherches
Juste une semaine, une seconde ! Allez, vas-y Columbia ! Juste un mois, une seconde ! Allez, vas-y merveilleuse Columbia !
…
Et en une fraction de seconde Toi, Columbia Et en une infinie seconde Columbia, tu t’en vas !
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