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Accueil >> xnews >> Columbia - Poèmes confirmés - Textes
Poèmes confirmés : Columbia
Publié par Terra le 19-01-2013 08:04:50 ( 1190 lectures ) Articles du même auteur



La pluie … Les emmerdes et les autres choses
Elles sont se qu’elles sont et rien d’autres
Les nuages … La luminosité à fortes doses
Elles ne sont que poussières, les nôtres

Et Columbia encore et Columbia encore
Explosions de suspens, de speed, de nerfs
Et Columbia toujours et Columbia à mort
Sensations de déshydratation, nous, poussière

Yeah yeah yeah !
Allez, vas-y ! Allez, vas-y !
Yeah yeah yeah !
Allez, vas-y ! Oui vas-y !

Le soleil … Les tracas de la vie, de la fin
Elles sont se qu’elles sont et c’est tout
Le ciel … L’ombre qui peu à peu couvre le matin
Elles ne sont qu’images, images floues

Et Columbia à jamais et Columbia à jamais
Expulsion d’images excitantes et entraînantes
Et Columbia pour toujours et Columbia ramenée
Exposition de sens et d’une âme tremblante

Yeah yeah yeah !
Allez, allez, allez vas-y !
Yeah yeah yeah !
Allez Columbia de la folie !


(Reprise)


Et si la pluie .. Et si le soleil n’existait plus ?
Alors mes larmes ne sècheraient plus
Et si les nuages … Et si l’ombre n’existait plus ?
Alors plus rien ne cacherait ma douleur

Et Columbia encore, Columbia s’il te plaît
Toutes ces infusions d’images choquantes
Et Columbia toujours, Columbia à jamais
Les expressions de bonheurs grandissantes

Eh oui Columbia !
Allez, vas-y ! Vas-y !
Eh non Columbia !
Allez Columbia de ma vie !


Et si le monde … Et si la mort ne vivait plus ?
Alors la vie ne ferait que se ressasser
Et si le monde … Et s’il se coupait en deux ?
Alors jamais plus nous ne pourrions nous rencontrer

Et Columbia pour toujours, Columbia d’un jour
Toutes ces frustrations ramenées sans cesse
Et Columbia pour toujours, Columbia d’un amour
Les intentions d’une si futile vieillesse

Eh oui Columbia !
Alors vas-y ! Vas-y !
Eh oui Columbia !
Alors Columbia va dans l’immense oubli !


(Reprise*)


Le mur … Le mur qui maintenant nous unit
Il n’est qu’un tas immense d’ordures
Les étoiles … Les supernova d’autres mondes
Elles ne sont que de simples coupures

Et Columbia encore, Columbia à tort
Exploration de nos immenses subconscients
Et Columbia à mort, Columbia d’alors
Implantations d’esprits s’assemblant

Columbia, oh douce Columbia !
Vas-y je t’en supplies !
Oui Columbia, Merveilleuse Columbia !
Vas-y au péril de ta vie !

Le doute … Les insultes et les autres choses
Elles sont se qu’elles sont et pas d’autres
Le stress … Les ivresses à très fortes doses
Elles ne sont qu’hallucinations, les nôtres

Et Columbia encore et Columbia encore
Explosions de suspens, de stress et de nerfs
Et Columbia toujours et Columbia à mort
Hallucinations de sphères, nous, amères

Yeah yeah yeah !
Allez, vas-y ! Allez, vas-y !
Yeah yeah yeah !
Allez vas-y ! Oui vas-y !


(Reprise**)


Vivre éternellement … Pour toujours et toujours
Un rêve pour certains, cauchemar pour d’autres
Vivre pour toujours … Et voir passer les heures, les jours
Un cauchemar pour demain, rêve pour nos ôtes

Et toi ? Qu’en penses-tu ?
Une suite de matins tous perdus
Et toi Columbia ? En veux-tu ?
Une suite de soirs tous diffus

Oui, oui et oui !
Allez, vas-y je t’en supplies !
Oui, oui et oui !
Allez, vas-y ! Vas-y !

Mourir éternellement … Pour toujours et jamais
Une euphorie entraînante chaque secondes
Mourir tous les jours et pourtant ne jamais oublier
Une asphyxie excitante chaque jours de ce monde

Et toi ? Qu’en dis-tu ?
Une panoplie d’heures mémorisées
Et toi Columbia ? En veux-tu ?
Une panoplie de mois inoubliés

Oui, oui et encore oui !
Allez vas-y !
Oui, oui et oui !
Allez vas-y !


(Reprise***)


Juste un jour, une seconde, une heure
Ne regardes pas en arrière avec colère
Juste une semaine, un mois, une année
Assis-toi près de moi, près de tes frères

Alors Columbia ne penses pas à mal
Car personne ne sait où tu es
Alors Columbia ne cherches aucune faille
Car tout le monde te voudrais

Juste un jour, une seconde !
Vas-y Columbia !
Juste une heure, une seconde !
Vas-y Columbia !

Et dans ton épopée silencieuse
Columbia tu sais que Sally peut attendre
Mais dans cette atmosphère audacieuse
Columbia tu sais que Sally va se rendre

Alors commence ta révolution
Car en vain je te cherche
Alors n’attends pas toute mon attention
Car sans peines tu me cherches

Juste une semaine, une seconde !
Allez, vas-y Columbia !
Juste un mois, une seconde !
Allez, vas-y merveilleuse Columbia !

…

Et en une fraction de seconde
Toi, Columbia
Et en une infinie seconde
Columbia, tu t’en vas !

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Les commentaires appartiennent à leurs auteurs. Nous ne sommes pas responsables de leur contenu.
Auteur Commentaire en débat
Loriane
Posté le: 21-01-2013 15:55  Mis à jour: 21-01-2013 16:11
Administrateur
Inscrit le: 14-12-2011
De: Montpellier
Contributions: 9505
 Re: Columbia
Dommage la musique nous manque.
Les images, le rythme sont là.
Tu as de la musique à nous donner ?
Terra Columbia, il s'agit bien de la navette spatiale qui a explosé ?
Citation :
Le mur … Le mur qui maintenant nous unit
Il n’est qu’un tas immense d’ordures
Les étoiles … Les supernova d’autres mondes
Elles ne sont que de simples coupure

Une coquille
Citation :
rêve pour nos ôtes
nos hôtes


J'ai beaucoup aimé.
Merci
Terra
Posté le: 22-01-2013 00:27  Mis à jour: 22-01-2013 00:27
Plume d'Or
Inscrit le: 19-02-2012
De: Snake eye
Contributions: 371
 Re: Columbia
Merci Loriane.

Columbia peut être beaucoup de chose, la navette, les espoirs, ou la Colombie tout simplement, en fait Columbia est ce que tu veux qu'elle soit. C'est l'endroit où je me refuge :)
Mes préférences



Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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