La nuit cette ombre qui nous guette, qui nous quitte
Dans sa main roide et morte, nous nous égarons
La fuir, cela ne sert qu’à mourir en prison
De cette machine affreuse je m'acquitte.

Avec toi elle n'est plus là, plus comme avant.
Elle revient plus cruelle encore en ton absence
Elle hante mon regard incrustant mes sens
Tel est la souffrance que me cause ton rang

C’est la peine d’un cœur qui ne t’a pas toujours vu
C'est la peine du cœur qui n’est jamais venu.
C’est la peine du cœur qui n’a jamais vaincu
C’est la peine d’un cœur pour toujours convaincu