Belle, pardonne-moi !
Au crépuscule aride, là, je me sens seul. C’est effleurer, ma ligne du temps. Où le désert est de velours, ma sécheresse Plus... une larme n’y coule.
Pour faire éclore ma vie verte Même si je pleure, mon âme sèche. Là où plus rien n’y pousse Mon soleil m’apporte désolation.
Sur l'immensité de ces continents vaporeux Moi, je m’épuise, pardonne-moi ! Le vent m’emmène, bercé… pour chavirer. - Ce passager du temps… m’absorbe
- Si mon alchimie se fait volatile. « Et que ton cœur lui sème la renaissance Au chuchotis incessant… » Moi, je vieillis et je me sens perdu.
... Alors belle, pardonne-moi !
De Daniel, M. Chanson.
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