Depuis l’hier des temps de ses générations Il triomphait haut et majestueusement Rapportait à l’humain le primat de son évolution Garantissait la fraîcheur de leur entendement
Pourquoi le faire tant pleurer de ses branches Ce centenaire était fort, se gardait vie avec envie Il s’est courbé des mains des amis du dimanche Sa fierté s’écroulait facile au sol abasourdi
On le remplacera du gâchis des pourris Humains délibérants pour tuer la nature Et ôter vie à ces êtres vivants, ô quel délit !
Le fric ils ne comptent pour ruiner la nature Que l’on arrête le bras de tous ces nantis Qui la dévastent sans vergogne et forfaiture. ☼₣€
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