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Essais : Une histoire qui ne finirait que par un récit de vie
Publié par Rikimaru76 le 23-11-2023 17:00:00 ( 180 lectures ) Articles du même auteur



La personne a étudié la sociologie, étant en situation de handicap (20 à 40% sur les 80%, la personne n'a rien pût faire sous la pression des psychologues, du personnel un peu méchant), la personne qui vous écrit perçoit la Ash, c'est un revenu complémentaire avec une licence sc po en sociologie, est-il possible d'avoir une aide pour faire un Master en sociologie

"Une histoire qui ne finirait que par un récit de vie"

Objectif: 3000 mots tout les jours

Il existait dans un petit village, où il y'avait montagne et des lacs. Un fief, où vivaient une population "bolwoodienne", pour dire que certaines de leurs œuvres pouvaient être une caricature, même l'auteur lui-même, des jolies poupées, des jolis garçons faisait vivre le village. C'était un certains nombres de villages amassés qui faisait vivre une ville dont l'auteur taira le nom car ça peut être marrant de la trouver, jolie et connue pour son lac qui attire les touristes. "La tourista" nous connaissions, mais bon élu du peuple malgré nous, nous sauvions la société. Dirigé par un grand centre digne du "Mordor", nous obéissions mais nous nous révoltions quand le regard n'était pas sur nous, la nuit nous prenions les armes et survivions aux hordes qui nous attaquaient. Il n'empêche que nous aimions l'amour mais étions revêches. La vie n'était pas facile tout les jours, chacun travaillait à son compte, la personne qui écrit, était sociologue pour le compte de sc po, ce qui n'a pas toujours été, mais j'ai dû prendre de plus grandes fonctions malgré les risques. C'était surtout un travail intellectuel.

Viré de sc po après une agression sexuelle peu commune, laissait pour mort tel un loup à l'aboit, en colère, meurtrit, aucunes chances de survivre, j'avais été récupéré quelques années plus tard par sc po, me revoilà sociologue après avoir vaicu comme un traître d'être indirect, j'avais décidé d'être le plus souvent direct et de revoir mes méthodes de travail, surtout de Norbert Elias et de Durkheim. Il n'empêche que la sociologie humaine devait importer. Il fallait sauver et c'est tout. Peu importe, les meurtres, les crimes, le plus grand nombre devaient être sauver. Nous arrivions à un problème, la brebie, le mouton, le bouc, mais le loup, le chien, le tigre pouvaient être en danger de morts alors qu'ils étaient ennemis, un regroupement de société tuaient tout. On était bon a été donné racuit, a donné au "kebab", nous n'étions pour certains morts dans pas longtemps. Ceux qui avient connu les joies du sexe avec les femmes étaient bien morts, et la femme trop joilleuse d'avoir mouillé été mortes aussi. Mais nous résistions, nous essayions de survivre.

Jeunesse "bolwoodienne", à croire Hollywood c'était installé sur notre ville, même Lyon où Paris, Clermont Ferrand, Marseille, Bretagne, nous étions fouttus, certains s'y croyaient grâves, y'avaient même des jets à côté d'immeubles ou des gens vivaient et n'avaient pas le smic, des mazzerattis à l'autre du bout du lac alors que certains jeunes n'arrivaient pas aller à la bibliothèque, mais une nécessaire amitié entre pauvres et riches. Mais il y'avait des problèmes, car certains survivaient pas très bien. Chacuns s'essayaient à de nouveaux jeux, mais c'était la mort du "village".

Des envies de meurtres des fois…

Il n'empêche que les jeunes ça bougeaient, ça vivaient. Des travaux, ça travail dans des petits centres commerciaux, ça poussaient des chariots, à la caisse, ouvriers, serveuses, paysagistes, adorateurs de la "nature" ou pas, chacuns travaillaient mêmes de travaux hauts placés comme juristes, où fonctionnaires de la petite administration, il fallait tout faire travailler. Bref un ennui, mais un travail sympa.

"Le bouc", le "facebook", qui nous dirigeaient et nous faisaient peur, l'auteur avait quitté le site pour revennir sans amis mais avec quelques groupes sociologiques. Nous étions sur son site mais n'allions pas toujours sur son site. C'était un groupuscule limite devennus mafieux. Nous devions obéir aux nano-technologies mêmes aux nouvelles technologies.

"Désastre" qui s'étendait à toute la société.

Comment faire survivre, des alliances se faisaient entre petits groupes sociaux et nous survivions, "Hollywood" nous ordonnaient des meurtres de temps en temps mêmes des personnalité de la télé où politiques, ça pouvaient d'une ville à une autre avoir un impact sur la population. Des personnes qui ont rien fait... D'une ville à une autre, les ordres du centre pouvaient arrivé jusqu'à nous et seuls les grands profiteurs, en profiter, pour les autres un cours délais de survie…

Ma passion pour "Durkheim" n'était pas " le travail", boutade sociologique, l'auteur s'intéressait à l'anomie et comment y survivre, situation difficile comme le chômage et la précarité, comment y survivre quand on a pas toutes les chances de son côté ou que l'on connaît des inégalités de la vie. Il fallait s'accrocher à la console de jeux vidéos et écouter de la musique de temps en temps, le parcours de trophées pouvaient s'avèraient parfois difficile. Il fallait naviguer sur le cloud de la Xbox et parfois passé à d'anciens jeux…

Fan de "Norbert Elias", l'auteur n'était pas reconnu pour ces nombreux lecteurs, il était reconnu seulement pour son appréciation du moyen-âge et comment "les chevalliers" se sont intégrés à la société.
Le magnificient (il a perdu une partie de son cerveau à une teuf il ne pourra atteindre les 100-200 pages après si vous connaissez un collectif, la vie fait des misères aux roots qui n'en sont pas, mais il existe une seconde chance mais elle ne perdure pas longtemps pour qu'on puisse survivre mais croyait en votre chance, la vie n'est pas toujours absolution, il y'a quelque chose à dire, des écrits perdus qui ne deviendront rien, c'est dommage…).

L'élève n'abandonnait pas, l'objectif 100-200 pages, j'y arrivais peut-être, tel l'élève du bushido, j'arriverais à finir ce que j'ai entrepris, la voie des arts martiaux, je vaincrais l'ennemi je continuerais…

Ca commence à ressembler à du "Tolkien", il manque l'environnement, les orques, les elfes. On s'imagine avec des lames elfiques, les éliminer les uns après les autres, les monstres titanesques ne nous ne le laissant pas passer, tel un guerrier un magique, il bondirait, et vaincrait son ennemi. La loi de la survie (qui n'en était pas une), nous rendaient difficile la survie. Armé d'un bokken, d'un faux katana qui pourrait plier le moindre adversaire, tantos, arcs peu chère et peut-être hache pour le vaincre et le faire passer pour moins fort qu'une amérindienne. Mais la hache tourbillonait et éclater les adversaires, il faisait siffler le vent "Jet Li", s'enfuirait tout courant. "Le mortal Kombat" entre les deux êtres arriveraient peut-être, un combat terrible pour amuser enfants et adolescents, un des deux mourriraient peut-être pour être trop entrainé et trop indiscipliné pour être respecté, un des deux seuls seraient respecté, mais au moins un il resterait. Qui serait le plus fort, le génie des arts martiaux, ou le jeune laissait pour mort qui apprit les arts martiaux bien plus tard…

Ma passion pour les arts martiaux, c'est le Taï chi, même des dérivés le Qi Quong (une médecine chinoise), le plaisir d'envoyer valser les adversaires avec l'énergie de la nature. un art traditionnel, tout un art. Il faut se battre avec la force de la nature et oublier les forces qui sont en toi et espérer qu'elles te viennent. Vaincre à tout pris, mais pour sauver avant tout, la force te consumme et une super technique. "C'est le Taï Chi", la nature n'est pas contente, mais laisse la virevolter. C'est une force pour combattre, tu dois te battre avec tout ton cœur.

Démons de minuit, mais apprivoiser par la nature, ça intéresse les démones mais ça le rends bien plus dangereux. Démon mais il a un côté nature, fuyait sa magie noire verte. Il n'empêche, il peut être sympathique. Combattre comme un Lucifer ne lui fait pas peur, mais ne croît pas qu'il ne soit pas méchant…

Il n'empêche que notre destruction tout être magique qui soit, arrive, nous devons combattre.

Après ses allusions magiques, oublions nous un peu…

Des délires magiques, fantasmatiques, non à la science, mais oui au bien être. Marre d'être esclaves des machines et des humains cons qui travaillent pour elles. Je veux bien être ami avec les machines mais pas tout le temps… Un sabre peut tuer, mais il peut avoir une âme aussi…

Un monde bien compliqué, où la survie est devenue difficile, le monde est fouttu.

Des croyances bien lointaines quand on pense, qu'au début nous n'étions que 100 000 humains et humaines, voir 800 000 après… Combattre avec le cœur, il faut trouver une autre planète. Nous devons recommencer, en espérant ne pas avoir énerver les divinité de la création et les sous-espèces qui dirigeaient en tant que subalternes. Mais nous sommes aussi une sous-espèce, les animaux sont mieux que nous, et nous devrions en redevenir pour méditer sur ce qui nous, peut arriver...

La nature avant tout c'est elle qui nous sauvent, peu importe à la pré-histoire, il prenait une massue et c'était finit.. et le monde devait continuer de vivre.

Le moyen âge, est une époque plus intéressante, c'est dommage qu'ils n'aient pas évoluer en restant eux-mêmes, en gardant ce qui avaient pour vivre… Il aurait fallut trouver une réincarnation, plus intéressante après la mort, peut importe la mort, un échec du moyen-âge à guerrir les blessures du passé… Il fallait réincarner peu importe la mort, qu'il redevienne quelque chose, même s'il avait combattut comme un lion et avoir été vaincut par un chien. Le loup avait perdu, vaincut par un renard où siffler par un ours, il aurait fallut tout réinventer, le vil serpent aurait put devenir un chien s'aurait pas été grave. La renarde devenait une louve, c'était possible…


Une histoire qui n'en finit pas, mais qui ne pourraient finir qu'après les pages écrites… La vie n'est pas finit mais elle s'essoufle, la nature ne peut nous régénérer, nous sommes blessés, peut-être nous devons nous laisser mourir et devenir autre chose, se réincarner… Difficiles pour bien d'espèces d'abandonner mais parfois il faut accepter, nous avons assez combattut…

Bon que dire, la vie est finit mais nous pouvons nous aimer, d'un homme à une femme, nous pouvons encore faire l'amour, vivre, même profiter sous un drap, dormons tranquilles en espérant que demain, sera un autre jour. Mais la nuit dormons bien. Qu'est ce qu'un travail de plus de 10 000 mots, des millions personnes mortes mais des milliards de sauver, mais à une époque ça n'existait pas, allez dormons… La suite au "dormeur Duval", espérons qui soit mort bien tôt, mais bon on dort mieux "mort"… Suite ou pas suite tel est la question… Dormons "Mormont" bisous mes chères lecteurs et lectrices.

Me réveillant en pleine nuit, je suis attiré par une force qui m'incite à continuer, je suis en économie de batterie, ma mère rôde, mon père écrit aussi un livre sur la famille, le chat dort et ronronne, mes sœurs ne sont pas loins. Il n'empêche que nous devons continuer, tel un papillon nous devons nous en envoler, nous partons de New York, pour taïwan, c'est un produit basse production mais il sera peut-être bien. J'ai sauver une araignée qui nous menaçait, peut-être une écriveuse en herbe. Bon le vieux chien d'à côté dort aussi, il a encore la forme. Bon continuons.

La vie est difficile, il existe des "Tom Cruise" qui passe pour des fous mais peut-être existe t-il une survie extraterrestre, des animaux ont évolué plus vite que nous. Il faut trouver moyen de transporter les âmes jusqu'à d'autres planètes, nous mourrons plus vite même si nous avançons. Nous devons nous dépêcher de les envoyer même si certains sont pas contents. Les mécontents seront peut être heureux de trouver une chance de survie. Espéront qu'ils nous accueillent sans être trop en colère, que nous ayons détruit notre planète, elle est partiellement détruite mais elle pourrait redevenir quelque chose comme une étoile. La planète doit avoir une sorte de réincarnation aussi. Il nous faut nous dépêcher de tout sauver…

Les problèmes de vies et les colères pour des histoires se régleront autre part, sur une autre planète, en espérant qu'on puisse aller d'une galaxie à une autre. Il y'aurait plusieurs planètes, ce serait vraiment bien.

Un peu fan de "Bruce Willis, action-movie il joue très bien, des spiders mans et de "Kristen Dunst", c'est une mignonne rousse quand même, il y'en a une peut-être une dans mon village. Je suis un peu en froid avec "Leonardo Di Caprio", quelques désaccords avec les films et la manière de mener sa vie, "Swarzenger" ne m'appércie plus trop, il veut mener sa vie, il me respecte mais le côté homme-machine même s'il est très humain a créé quelques tensions. Je suis encore un peu apprécié par "Stalone", mes premiers films que j'ai vus.

Tout ce monde d'Hollywood peut expliquer l'impact sur mon village et sur les relations entre les différentes personnes. Nous devons travailler avec toutes les villes, pour que les choses se passent mieux, les jeunes n'ont pas à avoir peur nous sommes peut-être déjà partis, nous sommes en voyage, nous arrivons extraterrestres, préparez-vous, espérons qu'il aient des "Vahinés" pour nous accueillir.

Il nous reste peut de temps, mais profitons de nos derniers moments, équipés vous de musique, casques pour les oreilles, essayer de survivre sur la console mais ne vous habituer pas trop, en arrivant les choses seront peut-être différente.

Laissez-vous planer, il ne devrait pas y'avoir d'oublier, il y'a suffisamment de planète pour tout, on vous souhaite une bonne réincarnation.





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Auteur Commentaire en débat
Loriane
Posté le: 25-11-2023 10:50  Mis à jour: 25-11-2023 10:56
Administrateur
Inscrit le: 14-12-2011
De: Montpellier
Contributions: 9505
 Re: Un livre pour ceux qui ont du coeur
Ce texte est très décousu...
On commence par la présentation d'un livre, regard extérieur puis on continu et c'est l'auteur qui est dans l'action.
En résumé c'est surtout l'occasion d'une critique violente, de récriminations brutales et peu littéraires.

C'est plus exactement un réquisitoire violent, menaces, violences et haines :
Attention : "ce qui est excessif est insignifiant " disait Charles Maurice de Talleyrand-Périgord,

Citation :
et ceux qui n'en ont pas peuvent aller se faire voir ailleurs...


Citation :

Y'a des personnes qui crackent sévère pire qu'on le fume, qu'one le butte , qu'on l'étripe, qu'on l'accroche quelque part, qu'ils nous l'élimine ce con qui veut nous empêcher d'écrire, on fera de la bouilabaisse si il continue, y'a de la paëla à préparer avec ceux qui nous menaçent mais seulement pour les meilleurs d'entre nous, ça peut être intelligent mais c'est leur nouveau molosse pour faire peur aux personnes du magasin, bref kebab ou pizza nous demandons la survie à ces cons qui nous empechent d'être tranquille pendant 1h ou 3h, travail ou pas si quelqu'un nous empêche de vivre pendant 3h, la personne sera éliminé, qu'il existe une loi ou pas, continuer à nous déranger astralement et vous mourriraient, nous sortirons nos haches, nos meilleurs lames, nos couteaux, nos scies, nos meilleurs serpes et fandago...


Le tout truffé de fautes d'orthographe et de fautes de syntaxe.

Lecture difficile
Merci
Mes préférences



Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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