Ô toi le petite enfant née, ô toi l'enfant restée cachée dessous mes reliefs, mes rondeurs et mes creux, mes collines et mes vallées, tu me poses aujourd'hui mille question dans ton langage chargé de vie... Tu me questionnes même en hiver d'un regard, d'une larme, d'un cri si petits... Tu me demandes chaque jour, qu'importe le temps et puis la saison...
Et moi je te réponds par un chuchotement, par un bruissement de mes feuilles, par un regard profond entre la Renaissance de mes yeux et puis notre vie pour deux qui m'est si douce... Et moi je te réponds en me relâchant...
Je n'ai plus de nerfs mais des rivières claires ; je touche l'Absolu et notre cosmos devient secret bien au-delà du lait...
Ô toi le petite enfant née, ô toi l'enfant restée cachée dessous mes reliefs, mes rondeurs et mes creux, mes collines et mes vallées, tu me poses aujourd'hui mille question dans ton langage chargé de vie... Tu me questionnes même en hiver d'un regard, d'une larme, d'un cri si petits... Tu me demandes chaque jour, qu'importe le temps et puis la saison...
Et moi je te réponds par un chuchotement, par un bruissement de mes feuilles, par un regard profond entre la Renaissance de mes yeux et puis notre vie pour deux qui m'est si douce... Et moi je te réponds en me relâchant...
Je n'ai plus de nerfs mais des rivières claires ; je touche l'Absolu et notre cosmos devient secret bien au-delà du lait...
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