Ô toi la petite enfant du Dedans, ô toi ma Reine de l'Atlantide à l'eau... As-tu croisé durant ton périple les sirènes enchantées de naguère avec leurs voix cristallines, sans aucune rudesse ; sais-tu les secrets enfouis des habitants de l'Empire de Mû, leurs perles d'eau, leurs fontaines d'or et puis l'ambre et puis le jade pour couvrir sertir les vaisseaux fantastiques, pour dissimuler joliment des mécanismes savants ; dis-moi tes rêves où fleurissaient de vastes atolls de coraux et puis des îles sans renom à cueillir la noix de coco et puis le panorama familier d'un firmament tombé dans l'océan d'un peintre de génie...
Dis-moi la rose rosée qui mouillait la mer et que tu quémandais, et aussi les confettis d'embruns que les matelots jetaient lors des mariages maritimes entre les enfants de ton âge... Es-tu montée sur les colonnes antiques des temples parfaits ô Nombre d'Or
Maintenant que tu as bu toute l'eau de ce monde, n'es-tu pas trop déçue au milieu de moi, de la chine1 et de l'ocutéeffe2
J'ai si peur du dedans ô tendre complice...
Dis-moi secrètement que j'abrite en mon ventre cette mer en plus d'y loger et l'Âme et le Cœur et le Corps une mère...
Ô toi la petite enfant du Dedans, ô toi ma Reine de l'Atlantide à l'eau... As-tu croisé durant ton périple les sirènes enchantées de naguère avec leurs voix cristallines, sans aucune rudesse ; sais-tu les secrets enfouis des habitants de l'Empire de Mû, leurs perles d'eau, leurs fontaines d'or et puis l'ambre et puis le jade pour couvrir sertir les vaisseaux fantastiques, pour dissimuler joliment des mécanismes savants ; dis-moi tes rêves où fleurissaient de vastes atolls de coraux et puis des îles sans renom à cueillir la noix de coco et puis le panorama familier d'un firmament tombé dans l'océan d'un peintre de génie...
Dis-moi la rose rosée qui mouillait la mer et que tu quémandais, et aussi les confettis d'embruns que les matelots jetaient lors des mariages maritimes entre les enfants de ton âge... Es-tu montée sur les colonnes antiques des temples parfaits ô Nombre d'Or
Maintenant que tu as bu toute l'eau de ce monde, n'es-tu pas trop déçue au milieu de moi, de la chine1 et de l'ocutéeffe2
J'ai si peur du dedans ô tendre complice...
Dis-moi secrètement que j'abrite en mon ventre cette mer en plus d'y loger et l'Âme et le Cœur et le Corps une mère...
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