Ô toi mon enfant ma peine et ma joie, je t'aime je t'aime d'amour.
Blottis-toi encore et encore tout contre ma gorge ; laisse-aller lâche prise oublie-toi laisse glisser ô Nullité ô interdits démesurés ; essaie d'oublier tes petits nerfs et puis la force de tes pleurs. Vas là où personne d'autre n'est venu en mon âme, pas même ta vraie maman... Toi ma belle enfant chérie, imbrique ton petit être en le mien. Je veux à la fois pour tes yeux le profil des Enfants de Louxor1, et puis ta vue de face aussi simultanément, et puis également le trois-quarts béni cher aux dessinateur : je veux Tout de toi et c'est peut-être pour cela que je suis peintre cubiste. Des yeux des yeux de partout derrière la tête pour te sculpter en ronde-bosse sur un plan ;
Laisse-aller laisse-aller ton extase en la mienne car enfin le temps s'arrête, la mémoire devient blanche, les étoiles brillent au Grand Jour, le Cours des Astres s'inverse sur cette terre aux fleurs coupées, Planète des fous, où les dieux non-advenus sont à genoux2...
Ô toi mon enfant ma peine et ma joie, je t'aime je t'aime d'amour.
Blottis-toi encore et encore tout contre ma gorge ; laisse-aller lâche prise oublie-toi laisse glisser ô Nullité ô interdits démesurés ; essaie d'oublier tes petits nerfs et puis la force de tes pleurs. Vas là où personne d'autre n'est venu en mon âme, pas même ta vraie maman... Toi ma belle enfant chérie, imbrique ton petit être en le mien. Je veux à la fois pour tes yeux le profil des Enfants de Louxor1, et puis ta vue de face aussi simultanément, et puis également le trois-quarts béni cher aux dessinateur : je veux Tout de toi et c'est peut-être pour cela que je suis peintre cubiste. Des yeux des yeux de partout derrière la tête pour te sculpter en ronde-bosse sur un plan ;
Laisse-aller laisse-aller ton extase en la mienne car enfin le temps s'arrête, la mémoire devient blanche, les étoiles brillent au Grand Jour, le Cours des Astres s'inverse sur cette terre aux fleurs coupées, Planète des fous, où les dieux non-advenus sont à genoux2...
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