L’horloge
Et soudain le temps s’emporte.
Au fur et à mesure claquent des portes. Un drôle de pluie bat la mesure : L’ambition, les propositions, l’incompréhension, Tout devient démesure. Les minutes deviennent des heures Des craintes deviennent des peurs, Des rouages s’enchainent. Parfois une parenthèse s'invite et devient enchantée Pour vite laisser la place à l’obscurité…
….Du temps qui nous emprisonne, Qui oublie que les heures sonnent. Ce temps passé à trop travailler Et à ne pas penser...…
Que le temps est si précieux Pour vouloir être trop puissant Et ne pas admirer la beauté ,des yeux De ceux qui nous aiment tant.
|