La jeune fille du là Il y avait une jeune fille toute jeune et fraîche : Elle était depuis peu, la pupille D'une femme d'evenue rêche Telles deux saison qui s'accordaient, La jeune fille s'épanouissait comme une fleur, Tandis que la vieille femme comptait les heures, Comme un bas de laine sur lequel on aurai trop puisé, Elle sentait que le crépuscule viendrai bientôt. Petrie de peur et de tant de regrets Son orgueil faisait subir à la jeune fille des eaux Toute sa colère orageuse. Mais, loin d'en prendre ombrage, Elle laissé passer l'orage, Et, le printemps, pour un tant, Renaissait dans les pupilles laiteuses De la vielle dame à l'ame s'évaporant
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