Bonjour mon très cher frérot,

De la poésie, tu fais sonner le carillon,
Faisant de la femme un véritable aiguillon.
A côté de toi, je ne suis qu'un oisillon
Qui envoie des vers en l'air comme des ballons,
Voulant jouer avec les tiens le cotillon!

De la poésie, nous levons le pavillon
Quitte à l'encenser de deux coups de goupillon.
Restons dan son jardin de simples papillons
Amoureux des mots libérés de leur bâillons.

Sois remercié pour ta belle réponse.

Bisous du frérot.

Jacques