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Accueil >> xnews >> L'épopée homérique d'Eric - Poèmes confirmés - Textes
Poèmes confirmés : L'épopée homérique d'Eric
Publié par Istenozot le 25-06-2022 08:00:00 ( 246 lectures ) Articles du même auteur



Ce poème sous sa forme poétique de l'épyllion est un hommage rendu au directeur financier de l'entreprise de santé que je quitte dans quelques jours pour une retraite bien méritée :

Du marteau ou de l’enclume, que faut-il être
Telle était la question que se posait cet être ?
Il pouvait parfois en résulter un mal être !
Mais Eric avait du courage en son fardeau ;
Bonne enclume, dit-on, n’a pas peur du marteau !
 
De cela, je finis par en avoir bon dos
Se disait-il, avec un esprit d’à-propos,
C’est que notre chef comptable n’en manquait pas,
Mais dans les faits très grand était son embarras
A devoir être calife sous couverture.
Notre Eric ne put demeurer dans les murmures,
Comportement qui n’est pas trop de sa facture.

Son parcours devint une Illiade, une odyssée,
Aux rebondissements abrupts et encaissés.
Tel Ulysse, il n’écouta pas ses lotophages ;
Les us mutualistes restent son ancrage.
Il n’écouta pas, de l’intérieur, les Cyrcé,
Il fit le choix logique de sa destinée.
Son destin, je vous le dis, était dessiné ;
C’est un directeur aux contours très financiers,
Qui sait dans ses beaux habits se faire apprécier.
Mais il a su conserver sa douce folie ;
Des finances, il vous en fait une embellie.
Oyez, oyez, gens d’ici, sa belle faconde
Appelle la Comté à des moissons fécondes.
Adieu paniers, des comptes, il vous fait les vendanges,
Et les très bons résultats, il vous les engrange !
Mais il faut que chacun abonde dans son sens,
Sans quoi, auprès de vous, il manque de patience !
 
Surement, par ce poste, Eric est habité,
Nul ne le conteste, il en est habilité.
« A bon entendeur, il ne faut qu’une parole »,
Celle d’Eric, elle demeure une parabole !

Jacques HOSOTTE

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Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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