Aujourd'hui, c'est enfin les vacances Et, je vais au soleil de la delivrance. C'est donc , Ma crème solaire en poche, Que Je vais remplir, de rêves, ma sacoche De plage et de sable fin alanguis Aux avenantes courbes de l'été. C'est ainsi, d'un pas assuré que mon ésprit Trace ainsi les sillons d'un songe tant souhaité. Se dessinent alors des rires d'enfant, En des vagues de bonheurs insouciants. La nonchalance de ce temps, grise mes sens En une torpeur douce et mélodieuse. Puis, une autre musique Insidieuse, Me sort d'une léthargie pleine d'indescence. Le réveille, sonne et me rappelle : C'est donc, des valises sous les yeux, Que sur les ailes de ligne L je m'envole donc vers d'autres cieux.
|