Près du lac, se détend une rivière :
paisiblement endormie dans son lit,
son beau chant, tout doucement, envahit
l'éveille des fleurs de cette clairière.
Sous les paupières de l'artiste endormi,
se prélasse le murmure tu temps qui s'éveille :
il dépeint le chant de l'éveille de la nuit
qui, dans l'âme de ce peintre sommeille.
La rivière doucement, sortira de son lit
pour imprégner les yeux du rêveur allongé
et chaque goutte viendra son tableau orner.
L'or nait de cette tempête de son esprit.
Le bras de mer étreint le rivage
de s'est yeux évanouis dans l'écume
Du temps qu'il a perdu au fil des âges :
Son cœur se loverea dans la brume.
|