Demoiselle, vos yeux de saphir m'ont ébloui Ceux sont les plus beaux qui m aient été donné de voir Et de votre grain de peau, je ne puis, Je vous l'assure, de sa beaute, que m'émouvoir
Il est le plus soyeux et sans égal qui m'ait été permi de voir. Je vous donnerai toutes les richesses, Mais s'il vous plaît, accordez moi le plaisir dune carresse Et vous comblerez tous mes espoir s
A ces doux mots, la jeune demoiselle ne pu resister ; D'entendre venter aussi finement sa beauté, Quel coeur ne pourrait y resister Et, croyant en la sincérite de ce beau cavalier S'offrit à lui de toute son âme Croyant que ce serai le cesame De son plus bel idyle avec ce bel apollon Ce rêve fut de bien courte durée. Ce rêve si doux de se sentir aimer Fut achevé par deux jours interminablement long : Qu'elle ne fut ça surprise de voir son donjuan Aussi vite remis de sa nuit d'amour et déjà sur les rang s A courtiser sa prochaine proie.
|