La peur s’évanouit, mon chant devient berceuse, Pour que s’endorme en moi ,ce cœur énamouré. Il bat pour tous les deux, tel un loup affamé, Je n’aurai pas pensé,te rendre si heureuse…
Chaque jour il attend ma plume velouteuse, Qui fait que sans le vouloir, là il est resté. Où tant de ces colombes, leur nid ont tissé, Avant que d’exprimer leur rancœur orgueilleuse !
Mon organe en a vu, lui, au soir de sa vie, La douleur, le plaisir, l’amour que l’on renie, C’est vrai qu’il apprécie quand on lui tend la main !
Pour survoler de concert, la route au soleil, Les amoureux l’appellent, simplement chemin, Moment d'abandon jusqu'à mourir de sommeil !
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