J’ai vu, un cœur humain dans l’urne transparente, Avant son scellement pour partir au tombeau. Où dorment ses créateurs, dans un vieux château, Mais point sa belle âme, si douce ou violente !
Animant sa pulsion, profonde, évidente, Souvent pour fustiger, mais aussi pour le beau. Guidant la main de fer, mais aussi le berceau, Puis le faisant gonfler de façon imprudente !
Masqué fut l’organe, pour l'ultime voyage, Solidement amarré pour le fossoyage, Puis on l’a présenté au milieu du salon.
A côté de ce corps qu’il a su faire vivre, Ils ont su fabriquer ces valeureux garçons, Cherchant cette vie dont la Camarde délivre !
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