Une note dans l’air, goûteuse, mais légère, Qui tombe des nues, pour la fin du mai chanter ! Une seconde pour vers l’été s’en aller, Puis la troisième pour la marche aventurière !
Qui fait partir si loin de la vie trop austère, Emmenant peut-être, celle voulant donner, L’amour qu’elle possède sans jamais compter, Fière d’être au centre du pêché d’adultère !
D’où naîtra ce petit bercé par la musique, Le fruit de cet amour, somme toute classique, Sans notion de fortune, avec un seul nom !
Cet hériter cachant tout au fond de sa forge, Ces vers, ces chansons, qui feront tout son renom, Le désir, ou l’harmonie, sa plume en regorge !
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