Oh mais revoici le bel aède, arrière grand père de nos troubadours-trouvères.
Celui-ci il faudra que tu nous le chante.
Citation :
Dort en paix béotien, sur toi Apollon veille,
Il saura en son temps, façonner tes neurones
Et qui sait, ton cerveau percevra le soleil
Pour que l’intelligence, en ton crane, un jour trône
Et badaboum !
Pan !! sur sa vilaine gueule de crétinus,
Sais-tu bien que tu t'en prends au peuple si malléable, à l'allié sans faille des maints dictateurs monstrueux qui de plus en plus surgissent partout sur la planète ? Pour ceux-la les seuls vers qui vaillent sont ceux qui boulottent les corps de leurs victimes parfois complaisantes.
Voudrais-tu vraiment les mettre en difficulté seuls face à des cerveaux qui décryptent, comprennent et prévoient ?
Le béotien est l'outil sacré du dictateur pervers, et tu voudrais que ces bécassins pensent ?
Anémone disait : "je préfère le génie au con"
Simple, pas très poétique mais efficace.
Pour la forme merci , chaque mots vient docilement comme une évidence, le style de notre excellent aède Titi, fluide, adroit et qui fait penser.
Citation :
On le montrait du doigt, le magicien des mots
On le vouait au bûcher ce sorcier de la rime
Prétendant apaiser, par des phrases, les maux
D’un monde sans parole, qui s’ignore et déprime
Vénielle calomnie, médisance puérile
Le poète versifie, négligeant ce tapage,
Traduit le vieux françois, noble langue en péril
Tel le bon artisan qui soigne son ouvrage
J'ai tout aimé.
Merci