Avant savez-vous, j’ai souvent risqué ma vie, Toujours sûr de m’en sortir, en bottant le train, De celle qui m’a prit maman, mon grand copain, Qui quelque part m’ont apprit ce qu’est la survie!
Finies les gaudrioles, qu’au sort on dédie, Quand aux acrobaties, mon Dieu que c’est lointain! Les titres, dans la vitrine attendent demain, Qu’une main salutaire, au loin les expédie!
Elle est surannée cette époque glorieuse, Quelle âme ouvrière peut cette vie heureuse, S’offrir, quand devient si cher, un simple repas!
Vivre désormais, se fait sur une console, Plus de brevet, de bac, ni non plus de prépas, Parfait pour empêcher, que le jeune ne vole !
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