| A + A -
Connexion     
 + Créer un compte ?
Rejoignez notre cercle de poetes et d'auteurs anonymes. Lisez ou publiez en ligne
Accueil >> xnews >> Absurde...réflexion. - Essais - Textes
Essais : Absurde...réflexion.
Publié par christine le 29-03-2021 23:00:00 ( 459 lectures ) Articles du même auteur



Tentative de description de prise de tête à Paris France.

Une fois réflexion faite, la théorie est simple, mais la pratique reste difficile voire même douloureuse.

Tout vire à l'absurde, c'est le cauchemar réel. L'absurde n'a pas de frontière, c'est une définition qui lui est propre.

Il serait absurde de dire que tel ou telle chose est mieux ou moins bien puisque les raisonnements d'appréciation deviennent inexistants .

Sans logique, il devient impossible d'étayer un raisonnement et la définition de l'absurde est de n'avoir aucune logique, donc aucun repère dans l'absurde !

Je ressens parfois ma vie comme une absurdité, je nage, je patauge dans l'absurde et pourtant tout ceci doit avoir une logique.

Je ne vaux que ce que je peux pour moi-même.

Mais le sens et la finalité de tout ceci m'échappe.






Article précédent Article suivant Imprimer Transmettre cet article à un(e) ami(e) Générer un PDF à partir de cet article
Les commentaires appartiennent à leurs auteurs. Nous ne sommes pas responsables de leur contenu.
Auteur Commentaire en débat
Mes préférences



Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

Connexion
Identifiant :

Mot de passe :

Se souvenir de moi



Mot de passe perdu ?

Inscrivez-vous !
Partenaires
Sont en ligne
68 Personne(s) en ligne (16 Personne(s) connectée(s) sur Textes)

Utilisateur(s): 0
Invité(s): 68

Plus ...