A l’heure ou la bêtise fait montre d’abondance, J’écoute le grand Georges, et loue son éloquence, Comme son doux cantique, destiné aux plus cons Que moi, et c’est peu dire !!!!!, tant j’ai l’esprit abscons :
‘’Quand on n'est pas d'accord avec le fort en thème Qui, chez les sorbonnards, fit ses humanités, On murmure in petto : "C'est un vrai Nicodème, Un balourd, un bélître, un bel âne bâté." Moi qui pris mes leçons chez l'engeance argotique, Je dis en l'occurrence, excusez le jargon, Si la forme a changé le fond reste identique : "Ceux qui ne pensent pas comme moi sont des cons."
Ignorant ce refrain qui trotte dans ma tête, En joignant les paroles aux actes, je m’entête A contester quiconque s’oppose à mes idées, Qui bien souvent sont creuses…., mais c’n'est pas le sujet !!!
Ainsi quant au bistro un ‘’érudit’’ avance : ‘’Les gens ne parlent plus, entre eux c’est le silence’’ Je dis :’’ Pourtant si tous les cons voulaient se taire Tu s’rais: Marceau le mime, un muet salutaire.
Si un quidam m’affirme avec juste raison, Mettr’une femme en valeur ce serait de saison, Je rétorque :’’ Henri IV avec sa poule au pot L’avait fort bien compris, il n’y a rien de nouveau !!! Et le con se moquant d'un cancer du poumon, Pour le satiriser je lui dis:’’ pas d’mouron Sait tu que certains ont la tumeur au cerveau ?? Toi tu ne risques rien, car c’est vide là -haut !!!
Pour ce mauvais écrit recevez mes excuses D’enfreindre cet adage au final je m’accuse: ‘’Si tous les cons, ensemble, un jour devaient se taire La sagesse, dès lors, régnerait sur la terre…..‘’
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