Vivra la Liberté.
Langoureuse beauté de mes songes saignés Parmi cette imposture aux chemins de mon être Et qui parle trop fort sans même me connaître Aux greniers de la vie là où va l’araignée
Tissant sa toile en nuit entre deux arc-en-ciel, L’un ou l’autre à jamais comme jamais partiel L’étoile du grand Nord s’étoffe en négation Comme Ché Guévara sans sa révolution !
Et le rouge s’éprend, en ce monde acrobate Et des milliers de gens regardent, tout à tour, Ce qu’il fait froid d’aimer! Mais pourtant se combattent, Des Êtres qui ne sont jamais qu’un alentour !
L’injustice nous dit : « N’ignorez ma présence ! » Et l’on coupe la tête à Celui qui parla ! C’est à peine si j’ose en l’endroit où je pense Écrire et dénoncer, par de-ci, de par-là :
Que l’on n’étouffe pas d’une simple gageure En l’autre fois du temps dont pleurait la beauté Ce que Dieu sait, de Vous, comme en moi je le jure : « Vivra la Liberté ! »
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